Pourquoi des cours de français ?
Notions enseignées
Styles littéraires :
nouvelle, roman, théâtre, contes et légendes, récit policier, historique, fantastique, ou humoristique, biographie, science-fiction, dossier documentaire, poésie, lettres…
Vocabulaire
Les mots d’une même famille, les préfixes et leurs sens, les suffixes, les noms composés, les homonymes paronymes et synonymes, mots génériques, verbes et noms correspondants, sens propre et sens figuré, registres de langue, vocabulaire spécifique, les mots en -ment, les contraires…
Grammaire
La phrase et son organisation, les types de phrases, phrases simples et complexes, les pronoms, les adverbes, l’attribut du sujet, les déterminants du nom, les accords dans la phrase, les groupes compléments, les subordonnées (relative, complétive, conjonctive), la ponctuation…
Conjugaison
Les temps et les modes, formes verbales (affirmation, négation, interrogation), participes présent et passé, adjectif verbal, forme pronominale, voix passive et active…
Orthographe
Consonnes doubles, les nombres, les adjectifs de couleur, si/s’y, ni/n’y, on/on n’/ont, la/là/l’/l’as, quel(s)/quelle(s)/qu’elle(s), tout/tous, ces/ses/c’est/s’est, les accords sujet-verbe, le participe passé employé comme adjectif, l’accord du participe passé, le pluriel et le féminin des noms et adjectifs…
Parce que le français n’est pas si facile, même pour ceux dont c’est la langue maternelle.
Son orthographe est complexe à maîtriser, fruit d’une longue histoire et d’influences indo-européenne, grecque, latine, germanique, anglaise… alors que l’assimilation de quelques règles de base permettent déjà de mieux s’y retrouver et d’éviter beaucoup d’erreurs. Ainsi, quelques notions simples d’étymologie permettront de mieux apprivoiser certains mots.
Parce que comprendre, connaître et retenir les conjugaisons et la grammaire sont des bases qui permettront ensuite aux élèves d’être à l’aise quand il s’agira de rédiger un texte quelconque, puis une rédaction, ou d’aborder les auteurs classiques, qu’il s’agisse de romans, de théâtre ou de poésie.
Parce qu’avoir un vocabulaire riche permet de comprendre tous les textes et de s’exprimer avec plus de justesse, de subtilité, de finesse, dans une rédaction, un autre devoir ou tout simplement dans la vie.
Parce qu’avant d’apprendre une langue étrangère, il faut bien maîtriser sa propre langue. Comment comprendre de nouvelles règles d’accord des adjectifs, aborder sereinement les déclinaisons allemandes ou latines, apprendre des conjugaisons en anglais si l’on ne sait pas exactement comment tout cela fonctionne en français ?
Parce que même si tous les bons logiciels sont munis de correcteurs d’orthographe, il faut comprendre les corrections suggérées pour les valider ou pas.
Parce qu’un devoir d’histoire ou même de maths avec des fautes d’orthographe ou de syntaxe peut nuire à sa compréhension par le correcteur, ou tout simplement énerver ce dernier et le mettre dans des dispositions moins clémentes vis-à-vis de l’élève, que ce soit au primaire (où certaines fautes peuvent être excusables), au collège (où elles le sont beaucoup moins), aux examens ultérieurs (où elles peuvent pénaliser le candidat), dans une lettre de motivation ou un CV (où elles constituent autant de taches dans un document qui représente le candidat), voire dans une activité professionnelle où un mail envoyé reflète le niveau de celui qui travaille, donc ses capacités et ses compétences.