Pourquoi des cours de maths ?

  • Opérations de base

  • Nombres entiers, décimaux, relatifs, fractions

  • Géométrie dans l’espace

  • Algèbre

  • Symétries

  • Comment résoudre les équations

  • Les problèmes : savoir lire et analyser un énoncé, comprendre ce qui est demandé, acquérir une démarche pour y répondre

  • Analyse : suites, étude de fonctions, continuité sur un intervalle, dérivées, sinus et cosinus, exponentielles, logarithmes…

  • Nombres complexes

  • Probabilités et notions de statistique ; illustrations graphiques ; applications pratiques

Parce que c’est une matière qui se construit d’une manière progressive mais très rigoureuse.

Les cours d’une classe, voire d’un trimestre, se basent sur les notions assimilées auparavant. Si celles-ci ne sont pas maîtrisées, l’enfant peut perdre pied. Et parfois, à l’école ou au collège, l’enseignant peut ne pas prendre conscience d’une lacune, compte tenu du nombre d’élèves et un manque pourra être ponctuellement masqué par le hasard ou une pirouette intellectuelle, dans un devoir ou un exercice.

Parce qu’une déficience ponctuelle est comme un défaut dans un édifice : il le fragilise. Sauf qu’en maths un trou est rarement ponctuel ; il en entraîne d’autres et l’élève peut alors décrocher peu à peu, insensiblement puis complètement, voire être écœuré par la matière ou même l’école. C’est là qu’il faut à tout prix lui remettre le pied à l’étrier le plus rapidement possible, afin qu’il rejoigne le niveau de la classe, voire le meilleur niveau dans sa classe, et que ses résultats scolaires soient de nouveau rassurants.

Parce qu’il ne faut pas que l’élève perde confiance en lui ni en ses capacités.

Parce que, si un élève ne suit pas en classe, ce n’est pas qu’il n’en a pas les capacités, généralement, c’est qu’il n’a sans doute pas compris certaines choses. Il faut donc prendre le temps et les moyens de les lui expliquer à nouveau, dans un langage approprié à son caractère et à ses connaissances.

Et parce que les maths elles-mêmes sont la base pour d’autres matières, comme la physique et la chimie, bien sûr, mais aussi l’informatique, la programmation ou même les SVT, à un certain niveau.